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Jean-Marie Messier a semble-t-il su convaincre son auditoire. « L'affaire Vivendi n'est pas une affaire Enron, les comptes n'étaient pas truqués, ce n'est pas une fraude généralisée orchestrée par M. Messier » a indiqué le procureur Chantal de Leiris. La relaxe n’est que la conséquence d’un « raisonnement juridique » selon cette dernière pour qui « l’intention délictueuse (n’est) pas prouvée ». Des réquisitions sans surprise : en effet, en 2009, à l'issue de l'instruction, un non-lieu avait déjà été requis.
En 2001, l'empire Vivendi Universal, alors dirigé par Jean Marie Messier était au bord du gouffre. Mais, trompés par une communication euphorique sur la situation de la société, de nombreux petits actionnaires avaient investis dans ses titres. En juillet 2002, le montant de la dette de Vivendi, qui s’élevait alors à 35 milliards d’euros, a été rendu publique. Environ 300 particuliers ont alors réclamé une indemnisation à la justice française.
Pour ces faits, Jean-Marie Meissier pourrait écoper de cinq années de prison et une amende pouvant aller jusqu'à 375 000 euros. Une sanction qui s’éloigne désormais pour l’intéressé suite aux réquisitions du procureur, déjà fort d’avoir remporté un procès similaire, à la fin 2009, à New York. Le procès a été mis en délibéré au 19 novembre 2010.